L’alimentation peut soit être une solution soit un problème pour votre santé et celle de la planète. Les produits industriels feront partie du problème et les aliments bruts ainsi que votre choix de consommation feront partie de la solution. S’alimenter dans nos pays industrialisés est devenu facile, mais bien se nourrir nécessite réflexion et conscience sur ce que l’alimentation nous apporte et ce dont nous avons besoin.

Comment différencier les aliments bruts des produits industriels ?

De manière générale, on parlera de produits industriels et d’aliments bruts. Un produit est le résultat d’une transformation et un aliment est le résultat à lui seul. Mais, il y a tout de même quelques notions plus subtiles, voici les règles d’or pour choisir des aliments bruts.

La provenance

Les aliments bruts sont tous cueillis, récoltés, ramassés, pêchés ou abattus, indépendamment de leur provenance géographique. Il ne doit pas nécessairement s’agir d’aliments biologiques ou locaux. Bien qu’il vaille mieux privilégier ces derniers.

Pour les animaux préférez ceux issus de leur environnement naturel (élevage en plein air, accès extérieur, aux champs, etc.) et nourris de manière biologique plutôt que les bêtes provenant d’élevages intensifs (pisciculture, élevage en batterie, etc.) et nourries de manière « conventionnelle » avec des céréales et graines non conformes à leur alimentation naturelle. Cette nourriture peut altérer le produit final, ce qui peut être considéré comme une première transformation. Il est par exemple possible par l’alimentation de modifier la couleur d’un saumon ou d’un jaune d’œuf avec des colorants intégrés dans l’alimentation. La canthaxanthine, un agent de bronzage, peut être utilisé pour rendre le jaune d’œuf plus orangé. Ce colorant (E161g) serait notamment la cause de rétinopathies en formant des dépôts cristallins sur la rétine.

Pour les végétaux, préférez les aliments issus de la permaculture (agriculture écologique, durable et autosuffisante permettant de renforcer les écosystèmes, cf. https://www.permaculture.ch/permaculture) plutôt que ceux issus de monocultures ou de cultures hors sol.

Pourquoi privilégier le « bio » ?

Bénéfice pour l’environnement

Grâce à l’utilisation d’engrais organiques et les rotations de cultures il est possible d’entretenir les organismes du sol. Les vers de terre, les champignons et autres bactéries réduisent le risque d’érosion et les galeries des vers de terre permettent à l’eau de pluie de mieux s’infiltrer dans le sol. De plus, le renoncement aux produits chimiques non biologiques permet d’éviter la pollution des rivières et des nappes phréatiques.

Bénéfice pour la qualité des aliments

Étonnement, la part en vitamines et en minéraux est plus ou moins équivalente entre conventionnel et biologique, bien que les fruits et les légumes biologiques aient des teneurs en vitamine C supérieures.

En revanche, les valeurs en antioxydants et polyphénols (système de défense des plantes) sont 18 à 69 % plus élevées dans les aliments biologiques. Les antioxydants ont un rôle important contre une multitude de maladies chroniques ou certains cancers.

Bénéfice pour la santé

La présence de certains métaux lourds comme le cadmium ainsi que celle de substances toxiques comme l’azote, le nitrate et le nitrite sont également réduits.

On ne retrouve pas, ou dans des portions infimes, de résidus de pesticides, qui ont des effets dévastateurs sur la santé humaine, dans les aliments biologiques. Les analyses de la dangerosité d’un pesticide isolé sont souvent indiquées comme inoffensives dans des quantités respectant les normes, bien que certains pesticides comme le fludioxonil soient reconnus comme étant nocifs. L’effet cocktail (mélange de plusieurs pesticides) commence enfin à être étudié et les résultats épidémiologiques montrent une relation entre la consommation de produits exposés aux pesticides et la probabilité de développer un syndrome métabolique.

Une étude récente a montré que le cumul de 6 pesticides différents (l’effet cocktail) avec une exposition à une dose admissible chez l’homme engendrait des perturbations métaboliques différentes selon le sexe chez les souris. Les mâles prennent du poids, ont une accumulation de graisse dans le foie (stéatose) et deviennent diabétiques. Les femelles présentent des perturbations hépatiques (stress oxydant) et une modification du microbiote intestinale. Bien que ces résultats soient sur des animaux et avec une dose élevée équivalente à celle admissible pour l’homme, ils confortent les résultats épidémiologiques.

La préparation

Les aliments bruts ne doivent pas subir de procédé industriel pour leur préparation. Voici une liste non-exhaustive des principaux procédés utilisés pour la préparation de produits industriels :

  • Toute altération de l’aliment : irradiation, ionisation, exposition à la chaleur qu’elle soit utilisée pour éliminer des bactéries, la conservation ou encore en pré-cuisson, etc. ;
  • Toute transformation de l’aliment : pré-découpage, extrusion (ex. les céréales soufflées), raffinage, etc. ;
  • Tout ajout de substances à l’aliment, qu’elles soient néfastes (additifs, sucres, sirop, gras, sel ou tout autre exhausteur de goût, etc.) ou à priori bonnes pour la santé (fibres, vitamines, minéraux, probiotiques, etc.) ;
  • Toute combinaison d’aliments ou d’ingrédients pour préparer un produit.

De manière générale, on peut considérer qu’un produit emballé fait partie d’un procédé industriel. Bien qu’éviter les emballages soit une excellente initiative, il ne faut pas non plus tomber dans l’extrême, car dans les grandes surfaces la plupart des légumes biologiques sont emballés, mais l’aliment est tout de même brut.

Ainsi, on peut considérer qu’un poulet entier est un aliment brut alors qu’un « nugget » ne l’est pas. Mais la limite est parfois subtile, notamment pour les produits animaux, une escalope de poulet est-elle un produit transformé ? Cela dépendra de son mode de préparation, si aucun ingrédient n’est ajouté, on peut considérer le produit comme brut. Il est donc nécessaire de connaître la provenance et le mode de préparation des aliments.

Les ingrédients

Ce n’est pas parce qu’un produit est composé d’ingrédients « bio » qu’il s’agit d’un produit brut.

En effet, peu importe le produit s’il est composé de plus d’un ingrédient, même biologique, il s’agit déjà d’un produit transformé. Un aliment brut n’a pas à avoir de liste d’ingrédients. Plus cette dernière est longue plus le produit est transformé, plus les effets sur votre santé seront inconnus, en raison du « cocktail » d’ingrédients et les interactions entre eux et votre organisme.

Adopter une alimentation brute est un excellent moyen pour déceler les aliments allergènes. En effet, comme le nombre d’ingrédients est réduit, il est plus facile de trouver ceux pouvant provoquer des réactions immunitaires exacerbées ou tout autre symptôme dû à leur ingestion.

Pourquoi privilégier une alimentation brute ?

Du point de vue économique

Les aliments industriels sont les ennemis de votre santé mais les amis de l’économie. Ils rapportent gros à l’agro-alimentaire qui vise la quantité sans la qualité et notamment à la pharmaceutique qui propose des médicaments pour soigner les maladies de civilisation engendrées par la malbouffe et des compléments alimentaires pour pallier à ce que l’alimentation n’est plus capable de fournir.

L’agro-alimentaire n’hésite pas à surfer sur la vague des « modes » : super aliments, sans lactose, sans gluten, etc. Au-delà de certains bienfaits santé, il faut retenir une chose : cela sera toujours bon mais pour leur économie. Même chose pour les régimes miracles ou autre société vendant des produits minceurs. Le seul allègement sera celui de votre porte-monnaie.

Les dépenses pour des publicités peuvent atteindre des sommes mirobolantes. Voici quelques indications de prix, en 2017, pour la Suisse selon le moyen de communication :

  • Panneaux d’affichage :  les tarifs à la semaine varient entre quelques dizaines et plus de CHF 2’000 ;
  • Télévision : les tarifs varient selon la chaîne, l’heure et le nombre de diffusion. Un spot diffusé 634 fois sur les trois chaînes de TV nationales durant un mois coûterait CHF 385’000, selon le Guide médias 2014 de Publisuisse. Sans compter que le coût de production d’une publicité télévisée débute à CHF 5’000 ;
  • Journaux : les tarifs varient énormément selon la taille, la couleur ou non et le média. Par exemple une page entière en couleur dans le journal « 24h » coûte plus de CHF 23’500 ;
  • Réseaux sociaux : les tarifs dépendent du nombre de personnes ciblées, de la durée de la publicité et de l’argent que la société souhaite investir. Il est recommandé d’investir au moins CHF 20 par jour pour des résultats concrets. 

L’alimentation brute n’a pas la puissance économique des produits industriels. On ne fait pas de publicités vantant le taux naturellement élevé en vitamine C du kiwi ou du poivron rouge ou encore pour les amandes riches en magnésium qui « contribue à réduire la fatigue », pour citer certains compléments alimentaires. L’alimentation brute n’est pas un régime, il n’y a pas de restriction, il ne s’agit pas de pousser à la consommation, mais d’un mode alimentaire de qualité répondant aux besoins propres à chacun et qui est bon pour sa santé.

Quand on pense qu’il suffirait que les gens n’achètent plus pour que ça ne se vende pas!

Coluche

Du point de vue écologique et humanitaire

Les produits industriels sont à l’origine de nombreuses maladies humaines, mais contribuent également à la mort de nombreuses espèces animales et végétales. Comble de la supériorité humaine nous sommes en train de détruire notre propre espèce en détruisant notre planète.

La surconsommation et la rentabilité ont conduit à une agriculture irrespectueuse qui détériore la qualité des sols, déforeste la planète et pollue l’eau, l’air et les sols.

La production d’aliments bruts privilégie une agriculture de qualité avant la quantité. La ferme du Bec Hellouin en Haute-Normandie fait office de modèle dans le domaine de la permaculture ; de nombreuses recherches sont faites sur place et il en ressort que la permaculture est rentable.

En Suisse plus de 67% des terres agricoles sont utilisées pour l’élevage et la production de produits de fourrage. La surconsommation de viande coûte cher tant en espace disponible qu’en matière première pour nourrir ce que nous mangerons.

Derrière chaque aliment se cachent des coûts cachés. Il faut par exemple 15’500 litres d’eau pour produire 1 kg de bœuf. « Water Footprint » définit les trois sources d’eau suivantes (plus d’info : https://waterfootprint.org/en/water-footprint/what-is-water-footprint/) :

  • l’eau verte, issue des précipitations ;
  • l’eau bleue, issue de sources de surface ou souterraines ;
  • et l’eau grise, issue d’eau douce.

Pour voir la consommation d’eau par aliment téléchargez l’application virtual water : http://virtualwater.eu/. Voici quelques exemples du coût en eau de certains aliments quotidiens.

source : http://ecosistemaurbano.org/english/the-water-footprint-every-drop-counts/

A cela il faut ajouter la consommation d’eau pour la production d’habits, les douches, les machines à laver, etc.

La terre n’a pas assez de ressources pour alimenter 9 milliards de personnes.

Pays industrialisés

C’est souvent un point négligé de l’alimentation car les pays occidentaux et/ou industrialisés se soucient plus de l’obésité que de la dénutrition. Pourtant, la faim dans le monde tue plus de personne que l’obésité, un paradoxe quand on pense à toute cette nourriture jetée alors qu’elle est encore consommable. Industriels, fast food, mais surtout ménages, tout le monde est concerné par le gaspillage alimentaire et la consommation abusive.

En Suisse comme dans le reste du monde, le gaspillage alimentaire correspond à un tiers des denrées alimentaires produites.

source : https://www.bafu.admin.ch/bafu/fr/home/themes/dechets/guide-des-dechets-a-z/biodechets/types-de-dechets/dechets-alimentaires.html

Avec une diminution de la consommation de viande, une meilleure répartition des terres agricoles et des achats raisonnés, le nombre de personnes pouvant être nourri à sa faim pourrait considérablement augmenter. En achetant des produits bruts et sans emballage on parvient à réduire énormément sa « production » de déchets. C’est d’ailleurs une aberration de voir les aliments biologiques emballés, comme s’ils étaient toxiques, alors que ceux qui le sont vraiment sont exposés sans emballage. Seul point positif des aliments non biologiques pour l’écologie, mais des interrogations du point de vue du bon sens et de la santé humaine se posent.

Du point de vue santé

Finalement, les produits transformés auront un impact négatif sur votre santé.

Les perturbateurs endocriniens empêchent le bon fonctionnement du système hormonal. On les retrouve notamment dans certains pesticides et dans les emballages (conserves, cartons, plastiques, etc.). Il est important de ne jamais chauffer des aliments dans des récipients en plastique car la chaleur libère les perturbateurs endocriniens qui se logeront ensuite dans les aliments. Il vaut mieux privilégier des bouteilles en verre pour transporter l’eau car les bouteilles en plastique exposées au soleil ou à la chaleur subiront le même effet. Les perturbateurs endocriniens sont à l’origine de nombreuses pathologies et ont des effets nocifs sur la croissance et le métabolisme. De plus, ils augmentent le risque de stérilité. Les perturbateurs endocriniens se cachent également dans les produits cosmétiques et dans les médicaments.

Les pesticides, dont le fameux glyphosate reconnu comme cancérigène probable par l’OMS (Oganisation Mondiale de la Santé), sont aspergés sur les récoltes. En plus des perturbateurs endocriniens qu’ils contiennent, ils augmenteraient le risque de cancer et seraient la cause d’autres pathologies comme Alzheimer et Parkinson. Les produits industriels contiennent souvent de nombreux ingrédients issus de l’agriculture conventionnelle et de provenances diverses. Ainsi les doses de pesticides et les mélanges, en raison du nombre d’ingrédients, sont donc très variables.

Les ingrédients qui composent le produit fini sont de mauvaise qualité. Les sucres libres ajoutés et les graisses raffinées sont des produits bon marché mais néfastes pour la santé. Il peut s’agir de « restes », de mélanges de différentes provenances, issus d’agriculture intensive, de « déchets », d’aliments jugés non conformes à la vente ou de parties non nobles pour les animaux, notamment lors de la fabrication de compléments alimentaires (cf. L’alimentation du sportif – les protéines, briques de l’organisme).

Les valeurs nutritives sont mauvaises et mal proportionnées entre les protéines, les glucides et les lipides. La composition des produits avec des ingrédients séparés, mélangés et/ou transformés altèrent les valeurs nutritionnelles des produits. Ils comportent bien souvent trop de calories et ont un Index Glycémique (IG) trop élevé ce qui favorise le surpoids et l’obésité. De plus, ces calories sont dites « vides », c’est-à-dire dépourvues de vitamines, de minéraux ou d’autres éléments essentiels, car ces derniers sont éliminés durant les procédés de fabrication. Ces produits sont trop riches en acides gras trans (viennoiserie et friture par exemple), en sel et en sucre, tous les trois étant liés à l’augmentation des risques des syndrome métaboliques et d’autres pathologies.

Les vitamines et minéraux de synthèses utilisés dans les produits transformés sont moins bien absorbés par l’organisme que ceux naturellement présents dans les aliments. S’ils ne peuvent pas être utilisés par l’organisme, ils encrassent et surchargent certains organes qui doivent les éliminer.

L’ajout d’ingrédients (chimiques ou non) pour combler le manque nutritionnel, le goût ou améliorer l’aspect et la texture sont inutiles et encrassent l’organisme. Les additifs alimentaires ont de multiples effets néfastes sur l’organisme. Ils augmentent le risque d’intolérances et d’allergies alimentaires et augmentent le risque de surpoids (comme le glutamate), agissent comme des neuroexcitateurs menant à la mort du neurone (comme l’aspartame), jouent un rôle important dans les troubles du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) (comme certains colorants), perturbent le microbiote intestinal et sont en cause dans bien d’autres troubles métaboliques ou pathologies. Une liste détaillée des additifs et leur dangerosité est disponible ici : https://www.les-additifs-alimentaires.com/

Conclusion

Par où commencer… Evitez au maximum les produits transformés, consommez local, biologique et de saison avec des aliments bruts. Si vous pouvez, achetez vos aliments directement aux producteurs pour qu’ils soient rémunérés de manière équitable et évitez ainsi les longs transports d’aliments.

Dans un monde idéal, une consommation raisonnable de viande permettrait d’améliorer les conditions de vie des animaux, la qualité des viandes et de répartir plus justement les terres pour produire davantage et nourrir le reste de la planète. Une agriculture raisonnée sous forme de permaculture permettrait de respecter l’environnement et la faune. De plus, la rentabilité et la diversité biologique produite serait meilleure. Ce mode de culture permettrait de réduire la taille des parcelles afin d’offrir des terres et du travail à de nombreuses personnes, un bon moyen de lutter contre le chômage et contre l’exode rural. Avec des aliments bruts votre agriculteur serait votre pharmacien, car, par la qualité de ce qu’il produit, il aurait un rôle important dans la prévention de certaines maladies. Ainsi, les coûts de la santé (assurance et frais hospitalier pour maladie de civilisation) deviendraient enfin raisonnables.

Il est temps de repenser notre mode de consommation et de voir la vraie valeur des choses, d’ouvrir les yeux et de prendre conscience qu’à ce rythme nous nous privons de vivre pleinement la vie en gâchant notre santé pour des petits plaisirs éphémères. Ce n’est pas l’argent qui nous nourrit, un billet de CHF 1’000.- possédera toujours moins de valeur nutritive qu’une pomme. Nous avons le choix de faire partie de la solution ou du problème.

Références :

Association Permaculture Romande, Définition de la permaculture, 
https://www.permaculture.ch/permaculture

RTS – A bon entendeur, Que mangent les saumons d’élevage, 2017, https://pages.rts.ch/emissions/abe/9047587-que-mangent-les-saumons-d-elevage.html 

Bloomenstein MR & Pinkert RB, Canthaxantine retinopathy, 1996, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/8979663

FiBL, Des études scientifiques le prouvent: Les produits bio sont nutritionnellement meilleurs, 2013, https://www.fibl.org/fr/sujets-general/lebensmittelqualitaet-sicherheit/fibl-stellungnahmen-lebensmittelqualitaet/fsa-studie-fibl-informationen/nutritionnellement-meilleurs.html

FiBL, Le Bio est-il meilleur ou non? Informations de fond du FiBL au sujet de l’étude de la FSA, 2013, https://www.fibl.org/fr/sujets-general/lebensmittelqualitaet-sicherheit/fibl-stellungnahmen-lebensmittelqualitaet/fsa-studie-fibl-informationen/le-bio-est-il-meilleur-ou-non.html

Thomas Alföldi et Karin Nowack (révisée et complétée par Karin Nowack, Thomas Brunner et Christoph Fankhauser), 2017, https://www.bio-suisse.ch/media/Konsumenten/Biowissen/biowissen_f.pdf

INRA, Effet cocktail de pesticides à faible dose par l’alimentation : les premiers résultats chez l’animal montrent des perturbations métaboliques, 2018, http://presse.inra.fr/Communiques-de-presse/Effet-cocktail-de-pesticides-a-faible-dose-par-l-alimentation

INRA, L’effet cocktail des pesticides, 2016, http://www.inra.fr/Chercheurs-etudiants/Alimentation-et-nutrition/Tous-les-dossiers/Effets-cocktails-des-substances-toxiques/Effet-cocktail-des-pesticides/(key)/0

Confédération suisse, Le coût d’une campagne de publicité, 2017, https://www.kmu.admin.ch/kmu/fr/home/savoir-pratique/gestion-pme/marketing/outils-marketing/prix-campagne.html

INRA, Ferme du Bec Hellouin: la beauté rend productif, 2016, http://www.inra.fr/Chercheurs-etudiants/Agroecologie/Tous-les-magazines/Ferme-du-Bec-Hellouin-la-beaute-rend-productif

Swissveg, Quelles conséquences écologiques de la consommation de viande ?, 2016, https://www.swissveg.ch/ecologie?language=fr

Water Footprint Network, https://waterfootprint.org/en/

Office fédéral de l’environnement OFEV, Déchets alimentaires, 2018, https://www.bafu.admin.ch/bafu/fr/home/themes/dechets/guide-des-dechets-a-z/biodechets/types-de-dechets/dechets-alimentaires.html

Janusz Kaczorowski, Norm. R.C. Campbell, Tara Duhaney, Eric Mang, Mark Gelfer, Réduire la mortalité par l’alimentation, 2016, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4907569/

Chantal De Sengler pour « Bilan », Pesticides: le débat prend de l’ampleur, 2018, http://www.bilan.ch/economie-plus-de-redaction/pesticides-debat-prend-de-lampleur